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Pourquoi des médecins ont-il prélevé le sang de «gilets jaunes»?

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DÉCRYPTAGE – Une enquête a été ouverte par le parquet de Paris pour «violences volontaires aggravées» et «mise en danger de la vie d’autrui».

Une enquête préliminaire a été ouverte par le parquet de Paris pour «violences volontaires aggravées» et «mise en danger de la vie d’autrui», après des prélèvements sanguins effectués dans la rue sur des manifestants pendant des rassemblements de «gilets jaunes».

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Les 20 avril et 1er mai, lors des manifestations, des personnes ont été filmées en train d’effectuer des prises de sang sur des manifestants sur le trottoir à quelques mètres du rassemblement. Ils se présentaient comme des «street medics», ces volontaires apolitiques ou anarchistes qui proposent leur aide lors de manifestations publiques. Il s’agissait en réalité de trois médecins: Josiane Clépier, généraliste, un anesthésiste Belge, Renaud Fiévet, et une ophtalmologue, Christiane Blondin. Ils étaient accompagnés d’un ancien biologiste aujourd’hui professeur de maths, Alexander Samuel, et de deux infirmières. Ces dernières auraient pratiqué les prises de sang, supervisées par les médecins. Le but de l’équipe: lancer une alerte prouvant que les gaz lacrymogènes CS utilisés par les forces de l’ordre contiennent du cyanure à haute dose, dangereux pour la santé.

Sur une première vidéo, une personne assise par terre, subit une prise de sang dans le brouhaha. La séquence aurait été filmée par un «street medic» qui l’aurait fait circuler.Sur la seconde vidéo, on entend les personnes casquées relever les coordonnées du manifestant et lui assurer: «On va t’envoyer les analyses chez toi». Ces prises de sang semblent avoir été pratiquées avec le consentement écrit des personnes puisque l’on entend notamment: «Il faut lui faire signer le consentement». Cette scène aurait été filmée par l’équipe d’Alexander Samuel, «pour l’envoyer à SOS ONU et leur montrer que l’opération est encadrée».

Des prélèvements légaux?

Au Figaro, François Braun, président de Samu secours de France, confirme qu’il est très fréquent de procéder à des prises de sang à l’extérieur. «Lorsqu’il y a un accident de la route, on fait systématiquement une prise de sang. Le lieu n’est donc pas le problème.» En revanche, «il est impératif de respecter les conditions d’hygiène qui sont les mêmes qu’à l’hôpitaldésinfection des mains, gants, asepsie de la peau, matériel stérile. Garder les analyses au froid si besoin.» Or, les vidéos ne permettent pas de vérifier que cette procédure sanitaire a été respectée. «On voit qu’ils ne portent pas de gants pour manipuler les produits biologiques. On ne voit pas tout le geste ni la mise en place de l’aiguille dans la peau», déplore François Braun.

Après les vidéos des prélèvements, un troisième film, également tourné par les médecins, montre Alexander Samuel en train de procéder à un test instantané, à même le sol.

La façon de faire étonne le médecin urgentiste. «On ne comprend pas bien ce qui se passe. La personne touche le sol avec ses gants avant de retoucher les produits. À l’hôpital, lorsqu’on doit diluer le sang pour faire un test, on utilise de l’eau stérile. Là, la personne plonge plusieurs fois une seringue dont on ne sait si elle est stérilisée dans une bouteille de coca remplie d’eau», analyse, dubitatif, François Braun. Cela pousse le médecin urgentiste à s’interroger sur une contamination extérieure des prélèvements.

De son côté, Alexander Samuel assure qu’il n’est pas nécessaire d’avoir de l’eau stérile pour cette analyse. Le test utilisé est un Cyanokit, un test instantané créé par la société suisse CyanoGuard. Celui-ci n’est pas utilisé en France. Conçu notamment pour vérifier le taux de cyranure dans les productions comme le magnoc, le Cyanokit est utilié dans les pays en développement. Contacté par Le Figaro, le fabricant assure que le test est utilisé «par des médecins légistes en Europe et à l’étranger».

L’hypothèse est que le gaz CS, présent dans les lacrymogènes utilisées par les forces de l’ordre, se transforme d’abord en cyanure puis en thiocyanate, un dérivé du cyanure présent notamment dans les cigarettes, une fois dans l’organisme. «La durée de vie du cyanure est de moins d’une heure alors que les thiocyanates restent dans les urines et le sang pendant plusieurs jours. C’est pour cela que nous avions besoin d’un test immédiat», explique Alexander Samuel. Dans une vidéo publiée sur YouTube, il explique la manière dont le Cyanokit doit être utilisé.

Bien que surprenante, cette pratique serait légale si «la personne consent à un prélèvement biologique pour des motifs qu’elle connaît et que ce prélèvement est effectué par un professionnel qualifié pour le faire», d’après le Conseil national de l’Ordre des médecins. «La seule réserve serait que le traitement de l’échantillon soit également effectué par un professionnel qualifié et identifié, afin que le résultat rendu soit techniquement fiable.»

La pratique rejetée par les «street medics»

Dès publication des vidéos, le groupe de «street medics» Coordination 1ers secours, soutenu par SOS ONU, a rédigé un communiqué pour dénoncer ces pratiques. «Nous conseillons vivement aux victimes de ne pas accepter de se faire prélever dans de telles conditions (…) la technique n’est pas viable.»

Dans les commentaires, Claire a déclaré avoir été prélevée. Au Parisien , elle explique avoir fait un malaise après qu’une grenade a explosé à ses piedsSes amis ont alors crié «street medics» lorsqu’elle s’est mise à suffoquer. Après avoir été soignée par deux hommes et une femme, elle aurait signé, «encore stone», le consentement écrit. D’après ses amis ils avaient des gants et la pochette et l’aiguille avaient l’air stériles. «Mais autour de nous, ça gazait encore.»

De son côté, Maxime Nicolle, alias Fly Rider, a déclaré dans un live Facebook avoir eu recours au prélèvement «une heure après exposition aux gaz». Il assure que les conditions d’hygiènes étaient respectées. Le fabricant du test a confirmé à Libérationque le résultat était bien positif au cyanure.

Les gaz lacrymogènes contiennent-ils du cyanure?

Joint par le Figaro, Alexander Samuel, qui ne faisait pas partie du mouvement «gilet jaune», explique qu’il a effectué ces recherches à la demande de SOS ONU. «J’étais présent lors de l’affaire Geneviève Legay. Ils voulaient mon témoignage. Lorsque je leur ai dit que j’étais un ancien biologiste, ils m’ont envoyé un résultat d’analyse qui montrait un niveau élevé de thiocyanates.» Le professeur de maths pense d’abord à une information mensongère. «Je ne voyais pas le rapport entre le cyanure et les gaz lacrymogènes et il ne s’agissait que d’un seul cas.»

Mais de leur côté, les membres du collectif de SOS ONU contactés par nos soins démentent ardemment ces allégations. «Nous ne l’avons jamais contacté.» SOS ONU a aussi cherché à savoir si des intoxications au cyanure à cause des gaz lacrymogène étaient possibles. Au cours du mois d’avril, le collectif a publié sur sa page Facebook plusieurs résultats d’analyses provenant notamment du laboratoire de biologie médicale du CHU de Lyon. Si certains résultats semblent dans la norme, d’autres indiquent que les mg par litre de sang sont plus élevés que les doses normales d’un patient fumeur. Sur chaque publication, un message: «vous présentez des symptômes, demandez le dosage du thiocyanate sanguin et urinaire. Faites les parvenir» à SOS ONU. «Nous cherchions à récupérer des témoignages pour Me Arié Alimi qui souhaitait lancer une procédure judiciaire légale, expliquent-ils. Il a montré les dossiers que nous avons reçus à un spécialiste et les résultats ne semblent pas avoir de rapport avec le cyanure donc nous nous sommes arrêtés là.»

Contacté par CheckNews, François Parant, du laboratoire du CHU de Lyon, a confirmé la véracité des résultats en précisant toutefois qu’ils ne permettaient pas de prouver une intoxication au cyanure. La «technique colorimétrique», également utilisée lors d’une exposition au cyanure pendant un incendie, «manque de spécificité».

Le groupe des médecins et infirmières estime donc que lorsque le gaz CS est absorbé, l’une des molécules (la malonitrile) se transforme en cyanure dans l’organisme puis en thiocyanates. Mais d’après le protocole cité par l’agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, le taux de thiocyanates ne permet pas de confirmer une intoxication. Pour caractériser des symptômes en intoxication au cyanure, il faut s’intéresser aux lactates. «Une hypotension et/ou une concentration plasmatique en lactate supérieure à 10 mmol/l suggèrent fortement une intoxication au cyanure», est-il écrit dans le rapport.

Une personne intoxiquée au cyanure devrait alors ressentir des «nausées, vomissements, maux de tête, altération de l’état neurologique (par exemple confusion, désorientation), sensation d’oppression thoracique, manque d’air, hypertension ou hypotension, collapsus cardiovasculaire, convulsions ou coma etc.» Les «street medics» de plusieurs groupes ont en effet déjà récolté des témoignages faisant état de symptômes similaires. Si les risques d’intoxication au cyanure semblent faibles, le docteur Jean-Marc Sapori s’inquiète cependant des effets irritants des gaz lacrymogènes. «En étant exposé chaque semaine au gaz lacrymogène, les bronches sont atteintes et il est possible de développer des pathologies chroniques.»

Quelle suite pour les résultats?

Si les résultats des Cyanokit, immédiats, ont été délivrés aux patients, ceux des thiocyanates de ces mêmes personnes ne sont pas connus pour l’instant. Certains «gilets jaunes» piqués ont rapporté n’avoir toujours pas reçu les conclusions de leurs analyses. Celles-ci auraient été envoyées dans un laboratoire à Bruxelles. On évoque également des laboratoires étrangers. Alexander Samuel, lui, indique ne pas avoir la main sur les résultats des analyses: «les médecins les récupèrent, les montrent aux patients mais je n’y ai pas accès si le patient ne veut pas que je les voie».

Des résultats dont doutent fortement Jean-Marc Sapori et François Braun. «Le kit donne une couleur mais aucune valeur chiffrée. Cela ressemble plutôt à ce que pourraient utiliser les pompiers sur un incendie mais j’ai beaucoup de mal à comprendre l’intérêt médical de ce kit», estime le président de Samu urgence de France. Même sentiment pour Jean-Marc Sapori, «réservé sur les interprétations des résultats.» D’autant plus qu’aucune analyse n’a été produite avant l’exposition au gaz lacrymogène pour établir une comparaison avant après.

À ce jour, plus d’une dizaine de prélèvements ont été faits. De son côté, Alexander Samuel continue de s’appuyer sur des études, majoritairement étrangères, et espère récolter suffisamment de résultats d’analyses pour pouvoir lancer une alerte. En attendant, il n’a pas prévu de retourner en manifestation pour procéder aux prises de sang.

Gaz lacrymogène et santé

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Je regarde un transfert d’une journée d’événements à Paris, via RT. Grâce à la technologie moderne, tout ce qui se passe se fait simplement sentir dans ma chambre. Bien pas tous. Je ne peux pas sentir le gaz lacrymogène, mais comme je tombe dans ceux qui n’ont pas peur de dire ce qu’ils pensent, il suffit de suffisamment de cassettes pour se souvenir du jour où je l’ai inhalé dans la rue. Puis, lorsque les yeux sont enflés et flous, peu de gens ont déjà pensé à ce qu’est une larme. Ensuite, il est seulement important d’arrêter la douleur et de voir. Normal

Maquereau ou lacrymatoire Le gaz qui pleure appartient aux armes chimiques. On peut affirmer que cela ne sert qu’à disperser les manifestants et à ajouter leur version de leurs traits – maudits, sales, voyous, gens, héros. Déjà par affinités personnelles. Il existe plusieurs types de gaz lacrymogène, à savoir: – Spray au poivre – Spray de Pava – gaz CS – gaz CN – gaz CR Le spray au poivre est principalement destiné à un usage personnel comme défense contre les attaques et est composé de piments forts et de poivrons, qui sont ajoutés au maïs. Tout est naturel, n’est-ce pas? PAVA spray est utilisé par la police britannique. Il s’agit d’une solution à 0,3% de vanillylamide d’acide pélargonique (PAVA), de capsaïcinoïde synthétique, d’éthanol et d’azote sous forme de gaz. Il est généralement utilisé à faible distance et agit sur les yeux, provoquant une douleur intense et obligeant à fermer les yeux.

Le gaz CS est le 2-chlorobenzalmalononitrile (également appelé o-chlorobenzylidène malononitrile; formule chimique: C10H5ClN2) et le cyanocarbone, qui sont tous stockés dans des cartouches. Cause une sensation sévère dans les yeux avec fermeture, larmes, nausée, désorientation, fermeture nasale, démangeaisons, toux et difficulté à respirer. La police exprime son amour pour les manifestations. Le gaz CN est du chlorure de phénacyle, également connu sous le nom de chloroacétophénone, peut être synthétisé par acylation de Friedel-Crafts du benzène en utilisant du chlorure de chloroacétyle, le chlorure d’aluminium servant de catalyseur. Il a été considéré qu’en raison de sa toxicité prononcée, il ne serait pas utilisé, mais, comme toujours, le mal causé par l’homme prédomine et fait partie du spray MACE connu. Il est le favori des formations paramilitaires. Le gaz CR ou dibenzoxazépine a été mis au point par le ministère britannique de la défense. Il est dix fois plus efficace que le reste et est cancérigène. Il est également mentionné par la Human Rights Association. Il irrite la peau, crée des attaques de panique, des suffocations, un combat aérien. Utilisé à l’intérieur, il peut provoquer la mort par étouffement et un œdème des poumons.

Effets sur la santé
L’utilisation de gaz lacrymogène a été considérablement envahie par la végétation ces dernières années. Il est utilisé dans les villes densément peuplées, telles que Le Caire, Istanbul, Rio de Janeiro, Manama (Bahreïn) et Hong Kong. Également dans les émeutes à Ferguson, dans le Missouri. L’utilisation de gaz lacrymogène entraîne de nombreux problèmes de santé qui peuvent être aigus et chroniques. Aigu Ce sont des effets immédiats après l’utilisation et le but de l’utilisation est d’induire ces effets. Irritation des yeux, de la bouche, du nez, de la peau et du système respiratoire. Les effets cutanés comprennent la douleur, des démangeaisons, des rougeurs et une possible dermatite de contact allergique. Déchirure oculaire (oculaire), démangeaisons, blafarospasme, douleur, rougeur et sensation de brûlure. 
Respiratoire

Les effets sur le système respiratoire et leur histoire sont un exemple passionnant de mauvaise science. Afin de prouver que les larmes étaient inoffensives, des études ont été menées sur des animaux de laboratoire et une étude sur des soldats volontaires en bonne santé n’a été réalisée que sur sept sujets; tous ceux ayant déjà eu des problèmes respiratoires étaient exclus de l’étude. Ce n’est pas comme ça. Toutes les études comparent les résultats avec des personnes qui ont déjà été exposées à une activité de l’acide lactique plutôt que de manière chronique. C’est comme beaucoup d’autres agents si seulement de petites doses sont comptées. Cependant, qu’en est-il des expositions chroniques et en Turquie, par exemple? Personne ne conteste les effets actuels, ils ne peuvent pas le voir. D’autre part, si nous introduisons dans l’équation d’un groupe à risque tel que les fumeurs, ceux qui sont plus exposés au radon, les fumeurs plus exposés au radon, les personnes asthmatiques, souffrant de douleur obstructive pulmonaire chronique et d’autres maladies pulmonaires chroniques, obtiennent toutefois des résultats différents. Quelqu’un dira – et que feront-ils lors des manifestations? – et ce ne sera pas juste. Le droit humain fondamental est de se rebeller contre ce qui est considéré comme une injustice.

Des manifestations massives en Turquie ont montré que des problèmes respiratoires importants tels que l’apnée, l’œdème pulmonaire, des arrêts respiratoires et une hémoptysie se produisaient. Trouver chez les femmes était pire que chez les hommes. En ce qui concerne les zones densément peuplées, les locataires environnants étaient chez eux. Une étude plus sérieuse a montré que des problèmes respiratoires chroniques se sont produits chez 55 personnes sur 93 ayant été exposées au gaz lacrymogène plus d’une fois. L’effet primaire prolongé est la bronchite chronique. Problèmes respiratoires chez le personnel militaire Les militaires sont exposés à de nombreuses déchirures lors de leur entraînement régulier. La vérité est qu’ils ont un masque à gaz, mais cela ne signifie pas que chacun d’eux fonctionne parfaitement. Les effets chroniques sont la toux, les maux de gorge, la sinusite, la rhinopharyngite, la bronchite et autres. Les problèmes augmentent surtout après la grippe. Comme ce problème dure longtemps, la quantité de gaz utilisée est réduite. Maintenant, ce n’est pas clair pour moi, s’ils connaissent le problème, pourquoi nient-ils que des civils puissent être blessés?
Effets sur les yeux

Il est logique que les yeux d’une étoile à gaz lacrymogène. C’est leur but. Cependant, si l’objectif d’invalidité temporaire ne devrait pas être l’objectif de blessures permanentes. La haine pour d’autres idées est-elle si forte? Lésion oculaire, œdème stromal, dépression conjonctivale, injection de vascularisation oculaire profonde. Autres complications oculaires telles qu’hémorragie, neuropathie traumatique de l’œil, kératite, kératoplastie trophique, symblephonie, pseudoptérigisme, glaucome et cataracte. Impressionnant. 
Blessures à la peau Une grande quantité de gaz lacrymogène a été utilisée chez les réfugiés vietnamiens à Hong Kong. Il y a eu de nombreuses blessures à la peau sous forme de brûlures, en particulier au niveau du visage, du cou et des épaules. En outre, une dermatite et des lésions vasculaires se produisent. 
Troubles gastro-intestinaux et cardiovasculaires

L’irritation du système gastro-intestinal va avec les nausées, les vomissements, la diarrhée et les hématomes. Comme pour le système cardiovasculaire, les effets sont la tachycardie et l’hypertension transitoire. En outre, les attaques de panique et les peurs.
Blessures graves et mort
On signale de nombreux effets graves, blessures graves et décès. Cela s’applique particulièrement à une utilisation en intérieur. Plusieurs décès ont été signalés dans plusieurs prisons. C’est une pratique courante dans les prisons qui sont souvent mal ventilées. Ceux qui ont déjà une maladie pulmonaire précoce sont les plus susceptibles de souffrir. Les morts étaient en Égypte, en Turquie, à Bahreïn et au Brésil. Le cas le plus célèbre est celui de 37 morts à la fois dans une prison en Egypte. Des cas d’avortement ont été rapportés après une exposition au gaz lacrymogène. Je suis optimiste quand je crois que ces mots écrits toucheront au moins une personne qui ordonne l’utilisation de l’essence. Un seul à s’arrêter et dire, qu’il y ait d’autres moyens. Force force le pouvoir. Il y a toujours un moyen de conclure un marché. Il suffit que l’accord soit recherché. La vie a montré qu’il n’ya pas de problème qui ne puisse être résolu par un accord. Je sais que je donne de faux espoirs, mais au moins j’essaye, essaie et toi, quelqu’un va parfois s’arrêter.